Le même jour, Émile Basly, de la mairie provisoire rue de Hanovre à Paris, déclare à la presse : »Ainsi, l’heure de la libération a sonné. Jamais, nous n’avions douté qu’elle viendrait. Aujourd’hui, notre plus grand espoir est réalisé. Et pourtant, je n’ose évoquer ma ville. Hélas ! Cité, elle n’est plus. Qu’importe, le sol est libre, nous la relèverons ».
Le premier décembre 1918, Ernest, Angélique et leurs deux enfants arrivent à Lens par ce qu’il reste de la route d’Arras. Accompagnés de trois gendarmes, ils passent leur première nuit dans leur ville libérée.
Les courageux Lensois entreprennent dès la fin du conflit la reconstruction de leur ville.
Mais cela, c’est une autre histoire ……………
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