Vincent Handrey
Vincent HANDREY et la comédie d’Arenberg Né le 24 janvier 1969 , sous le signe du Verseau, à Denain dans le Nord de la France,Vincent HANDREY apprend la musique dès le plus jeune âge à l’école de musique municipale d’Onnaing avec Georgette Dollé et André Wallet .il se passionne pour les claviers synthétiseurs et il compose ses premières mélodies, il écrit ses premiers refrains et il les chante . Vincent rencontre vraiment par hasard, dans un gala, au Palais des Grottes de Cambrai, en 1 ère partie de Michèle Torr et de C.Jérôme, Jean Albertini , le producteur de ces 2 vedettes au programme, exceptionnellement présent en province ce jour-là : celui-ci craque sur les chansons mais aussi sur la voix originale de Vincent Handrey. Le producteur Parisien présente le jeune auteur compositeur interprète Valenciennois à l’auteur n°1 des années 80 Didier Barbelivien et à Charles Talar qui produira quelques années plus tard Notre Dame de Paris. Ils décident de travailler ensemble. Sans vraiment le savoir, sans vraiment l’avoir cherché, Vincent entre dans le monde très fermé du Show-Biz par la grande porte.C’est donc en novembre 1987 que sort le premier disque de Vincent HANDREY : premiers enregistrements dans de grands studios à Paris avec de célèbres musiciens comme Slim Pezin, guitariste de Sardou et Hallyday, ou encore Nicolas De Angelis et même Christophe Dubois qui deviendra plus tard le batteur de Calogero, premiers galas en première partie de Marc Lavoine,Daniel Guichard, Herbert Léonard etc…, premiers autographes, premières télés, premiers hit-parades, premières interviewes mais aussi premières déceptions : même si « Elle attend » obtient un certain succès, ce ne sera pas un tube ! A peine 2 ans plus tard, avec comme producteurs le même trio Albertini-Barbelivien-Talar, Vincent récidive avec un second 45 tours : le succès ne sera pas au rendez-vous.Mais, l’auteur compositeur ne perd pas son temps : il apprend, il apprend énormément…fait de nombreuses rencontres à Paris en studio mais aussi en province dans les coulisses de ses galas et tisse des liens en particulier avec C.JEROME . Entre l’interprète de «Kiss me» et Vincent HANDREY à qui on promet déjà un bel avenir en tant que créateur, le courant passe bien, même très bien.Vincent signe les paroles et la musique d’un premier titre pour C.Jérôme . C’est le début d’une grande complicité artistique : naissent des chansons populaires avec des textes simples sur des musiques faciles à retenir bref des refrains qui collent à la peau de C.Jérôme. Vincent prend l’habitude de voir apparaître son nom aux génériques des émissions télé de Michel Drucker, Patrick Sébastien, Pascal Sevran, Patrick Sabatier ou Jean-Pierre Foucault. Le chanteur, devenu l’ami, se propose même d’être le témoin du mariage de Vincent et Carine qui aura lieu à la mairie puis à l’église d’Onnaing en juin 1994… Entre temps, Vincent Handrey participe au succès de Vendée 93 avec Didier Barbelivien « les Mariés de Vendée » et obtient son 1 er Disque d’Or. Dans cet album, il interprète un duo avec Robert Hossein .On fait de plus en plus appel aux talents de Vincent. Et fin 1994 , c’est Claude BARZOTTI qui par l’intermédiaire de Martyne Alexandre, une amie commune, sollicite le jeune auteur Valenciennois qui a une plume de plus en plus poétique. Une collaboration fructueuse voit le jour avec un premier album «Je t’apprendrai l’amour» puis un deuxième qui s’intitule «Emotions». C’est là aussi une vraie histoire d’amitié entre le Rital et Vincent devenu le papa d’un petit Valentin en mai 1997. Alors qu’il vient d’enregistrer une chanson de Vincent « Les bleus lendemains » et qu’il demande à celui qu’il appelle « le Barbelivien de l’an 2000 » de lui préparer un album, C.Jérôme décède en mars 2000 des suites d’une pénible maladie. Très affecté, l’auteur compositeur Onnaingeois prend du recul et le temps d’écrire des paroles et des musiques sur ses racines et en profite pour rendre hommage à la fois à son grand-père maternel qui était mineur et d’une manière générale au monde de la mine qui a tant marqué sa région. De ces chansons naîtra avec le soutien de Claude Larcanché, maire de Wallers-Arenberg et la complicité de Patrice Donnay, en février 2001 la comédie musicale «ARENBERG : histoire de la mine et vie du mineur» : un incroyable et inattendu succès populaire ainsi qu’un engouement médiatique inespéré et sans précédent dans le Nord Pas de Calais. Avec « Arenberg » qu’il signe paroles et musiques, Vincent fait non seulement à de multiples reprises la une du quotidien régional La Voix du Nord, a un soutien exceptionnel de France Bleu Nord, est invité plusieurs fois sur le plateau du JT régional de France3 mais apparaît aussi aux JT de 13h de TF1 de Jean-Pierre Pernaut et de France2 de Gérard Holtz, au 6 mn de M6 et de nombreuses radios telles que RTL ou France Info et des magazines tels que Télé Star ou Marie Claire lui consacreront des reportages. Ce spectacle, authentique et émouvant, emmènera son auteur Vincent Handrey sur une tournée qui passera 2 fois par le prestigieux Zénith de Lille produit par Guy Marseguerra pour Vérone Productions et qui totalise à ce jour plus de 65 représentations : les spectateurs qui ont repris en chœurs « Galibot… tu seras galibot » se compte désormais en plusieurs dizaines de milliers. (plus de 115.000 spectateurs comptabilisés au 1 er novembre 2006) Cette comédie musicale dans laquelle Vincent chante également, aux côtés de Dorothée Bia, Claude Estève, Mary-T, Jean-François David ou encore Lorenzo Caminotti, Amélie Simon, Cathy Bauduin, David Caruso ou Didier Baliany sera même, en septembre 2003 , adapté avec succès, avec la complicité de la ville de Wallers et de la Communauté d’Agglomération de la Porte du Hainaut présidée par Alain Bocquet, en son et lumière sur le mythique et grandiose ancien site minier de Wallers, là où Berri a tourné Germinal.( plus d’infos sur Cette comédie musicale dans laquelle Vincent chante également, aux côtés de Dorothée Bia, Claude Estève, Mary-T, Jean-François David ou encore Lorenzo Caminotti, Amélie Simon, Cathy Bauduin, David Caruso ou Didier Baliany sera même, en septembre 2003 , adapté avec succès, avec la complicité de la ville de Wallers et de la Communauté d’Agglomération de la Porte du Hainaut présidée par Alain Bocquet, en son et lumière sur le mythique et grandiose ancien site minier de Wallers, là où Berri a tourné Germinal.( plus d’infos sur http://www.comedie-musicale-
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