sur ce blog:VILLE LENS ,LES MINES62/59:RCL se trouve les anciennes photo de lens etant enfant de lens et les photo des fosses et travail de mon pere qui etai mineur:FIER DE CETTE VILLE ET METIER DE MON PERE,toute les photo ont étaient pris sur Google image et dark net image: j ai mis le logo RED TIGERS au quel je suis menbre pour proteger mes photo

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samedi 13 janvier 2024

rcl

 

1940-1969

Difficulté

1947 : COUP D’ARRÊT

Au moment de la Seconde Guerre mondiale, le championnat de France est divisé en trois zones (Nord, Sud et interdite). Positionné dans la zone interdite, le RCL écrase généralement les débats et termine 1er à deux reprises (1941 et 1942). En 1942-1943, la D1 est découpée en deux poules (Nord et Sud) et les Artésiens dominent leur groupe avec 13 points d’avance sur leur dauphin, avant de remporter le championnat fédéral en 1944.

S’ils ont dominé le football nordiste pendant plusieurs années, les Sang et Or sont relégués en D2 à l’issue de la saison 1946-1947. Cela s’explique notamment par la nationalisation des mines, qui a eu pour conséquence une forte diminution du budget alloué au club par les Houillères (Compagnie des Mines). De retour à l’échelon inférieur, les jeunes Lensois se distinguent surtout en Coupe de France, compétition dont ils atteignent la finale. Le 10 mai 1948, l’équipe de Nicolas Hibst font face à Lille devant une affluence de 61 473 spectateurs. Malgré deux réalisations de Stefan Dembicki, Lens s’incline au stade Yves-du-Manoir (3-2).

1969 : TERRAIN MINÉ

Les Artésiens réapparaissent au plus haut niveau du football hexagonal en 1949 et s’y installent durablement. En parallèle, ils remportent plusieurs trophées dont la Coupe Charles Drago face à Valenciennes (3-2) en 1959 puis contre Toulon (3-2) en 1960.

Jusqu’à la fin des années 1960, la formation lensoise fait partie des meilleures du pays et termine vice-champion de France deux fois (1956, 1957). Dans cette période positive, des individualités marquantes brillent sous les couleurs sang et or, à l’image d’Ahmed Oudjani qui devient le premier joueur de Lens à finir meilleur buteur de D1 (30 réalisations). Si la dynamique est bonne sur les terrains, elle l’est moins en dehors. En effet, l’activité des Houillères ralentit progressivement, causant la diminution des effectifs de la Compagnie des Mines. Alors que beaucoup de joueurs lensois – qui sont aussi mineurs – sont contraints de quitter l’Artois, les hommes du coach Elie Fruchart ne parviennent pas à se maintenir en D1 en 1969.

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