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mardi 13 février 2024

le materiels

 

Le trépanner

Le trépanner




En taille

En 1957, au siège 6 du Groupe de Bruay, une nouvelle machine entre en action : le Trépanner. C'est une machine d'abattage qui circule le long du convoyeur blindé et creuse devant lui avec une tête tournante (le trépan). Elle charge en même temps une partie du charbon. Un bras de rouillage vertical et réglable en hauteur découpe ce qui reste. Ces restes s'abattent sur la machine dont le dessus incliné permet de faire glisser le tout dans le blindé.


Le charbon abattu tombe

Une fois le passage le long de la taille, il suffit de nettoyer, riper le blindé et poser les étançons. Le trépanner est équipé de trépan à l'avant et à l'arrière. Une fois arrivée en bout de taille, elle peut repartir en sens inverse après ripage. Le poste de commande de la machine est en surplomb du convoyeur blindé pour une conduite en sécurité. Le trépanner avance à 1,8m/min avec une passe de 63cm. Il est par contre difficile à utiliser dans les passages accidentés vu sa taille. Le trépanner a été mis au point en Angleterre.

La pile Marrel

La pile Marrel

Avant l'invention des piles Marrel, les piles hydrauliques de soutènement avaient une assise sur les daisnes qui était suffisante car elles reposaient sur du rocher. Dans des veines, plus épaisses comme la veine Beaumont taille 3 du siège 21 du groupe d'Hénin Liétard, les piles de soutènements antérieures reposeraient alors dans du charbon du fait de l'épaisseur plus importante de la veine. L'assise aurait été instable, les piles s'enfonçant alors dans le charbon plus friable. La pile Marrel avec une assise au sol plus importante permet de répondre à ce genre de veine.

La pile rejoint son emplacement

La pile dans son emplacement

La pile prête au service

La pile Marrel est un ensemble de quatre étançons à vérins verticaux et d'un vérin horizontal de translation. Les étançons verticaux sont maintenus par six barres en acier à ressorts placées trois par trois de chaque côté de l'étançon. Un bouclier placé à l'arrière empêche les stériles d'envahir la pile lors du foudroyage. Chaque pile est reliée à la suivante de façon rigide par un pont support et un bouclier intermédiaire. Le vérin horizontal est relié à un convoyeur blindé au moyen d'une poutre coulissante.

MM Maréchal et Juskowiak

Deux chapeaux à large couverture sont placés grâce à une rotule au-dessus de chaque étançon pour assurer une parfaite couverture au toit. La surface au toit est alors de 4,46 m2 à 5,70 m2. La pile peut soutenir jusqu'à 25 T/m2 et avancer de 0,8 m à chaque passe. La pile soutient alors presque 260 T. Par contre tout ce matériel est très lourd (3650 kg/pile) et son installation nécessite des palans, monorail, treuils... Chaque pile est amenée par moitié puis assemblée en 2 heures après un acheminement d'une ½ heures de la voie centrale à la taille (pour la veine Beaumont).

La salle des pompes

Le poste de commande hydraulique

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